vendredi 10 décembre 2010

La-haut, Lao

c'est un peu comme si vous étiez sur le bateau aussi, non?
Le problème quand on voyage en itinérance comme ça, ce sont les habitudes. Dès que tu en prends ne serait-ce qu'un tout petit peu, Paf! ça devient difficile de partir. Alors rester 3 semaines à Battambang, 1 mois et demi au Cambodge, ça me fait un effet à retardement pas cool. Attention, hein, je crache pas dans la soupe, je suis très contente de découvrir le Laos, mais du coup, je suis pas totalement dedans, je suis en cure de déshabitude! C'est un peu dommage quand même.JustifierEnfin, bon du coup, pour retracer un peu la route que j'ai faite:
j'ai passé 1 semaine à Phnom Penh, où j'ai travaillé avec Enfants d'Asie la journée, sur le projet, et le soir, Phnom Penh Photo, un super événement organisé cette semaine là, qui présente des artistes d'un peu partout sur la planète, j'y ai vu de super trucs, le tout en partageant le quotidien de 4 rigolos de Phare qui participaient à un spectacle de cirque pour PPP.
(ça donne un peu le ton!)

Puis, j'ai repris la route. Je suis remontée vers le nord, vers Don Det, qui fait parti des 4000 islands, au Laos, archipel d'iles sur la partie sud du Mékong. Tout simplement incroyable, paisible, la vie y est douce. Je dormais dans un bungalow sur piloti, juste sur le Mékong, avec une petite terrasse et un hamac qui donnait l'impression de se balancer au-dessus de l'eau. Et la vue... L'endroit s'appelait Paradise, et Robinson Crusoé y vivait, avec sa femme Donna. Il y faisait des démonstrations de tour de magie, et dispensait des questions folles.

(c'est pas dégueu)

Après un bref et non intéressant passage par Savanakhet (dont le nom est bien plus exotique que le lieu), me voilà à Vientiane. Cette aprem, je travaille sur le projet, et demain matin, je pars encore plus au nord à Luang Prabang.


(c'est Le sac, il est encore vivant et a été vu sur une pirogue)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire